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Maroc Blog Award 2010

Après une édition 2008 pleine de surprises et une édition 2009 au succès fou, l’événement « Maroc Blog Awards » est de retour !



Devenu un événement incontournable du web marocain, les Maroc Blog Awards reviennent après deux éditions réussies, fidèles à leurs engagements et convaincus que le meilleur reste à venir ! Les nominations ont eu lieu du mardi 8 décembre au mardi 29 décembre 2009 tandis que les votes se dérouleront du lundi 4 janvier au lundi 25 janvier 2010.

La soirée de remise des prix aura lieu le samedi 30 janvier 2010 au Théâtre Mohammed VI à Casablanca.
L’événement vise à récompenser les meilleurs Blogs marocains selon des catégories bien spéciales :


Le blogueur de l’année.

La blogueuse de l’année.

Le twitteur / Twitteuse de l’année

L’article de blog de l’année

La photographie de l’année

Le site de presse de l’année

Le portail d’information de l’année

La page ou Groupe Facebook de l’année


Ces catégories toucheront plus de 15 types différents, à savoir musique, art, IT, politique, littérature, humours…etc.
Cet évènement est de loin, l’un des plus attendus en ce début d’année, de par sa popularité et la palette d’artistes qui s’y produiront : Ostina Tono, Kelma, Phil Darwin, Nowara Fire Project, Jalila Tlemsi, DJ VoK…et bien d’autres !

L’affaire est à suivre mais nul doute que cette nouvelle édition se placera sous le signe du renouveau et du tempo ! Alors les amis BLOGUEZ !

Polémique sur la consommation d'alcool au Maroc


Le sujet revient de façon récurente sur la scène médiatique et politique. Et il ne se passe pas une saison sans qu’on parle de mesures restrictives ou libératrice de la commercialisation de l'Alcool au Maroc. La dernière en date concerne la fameuse loi qui interdit la vente de spiritueux aux Marocains musulmans. Cette loi, un dahir (texte juridique émanant du roi) de juillet 1967 interdisant de vendre ou d’offrir des boissons alcoolisées aux Marocains musulmans, est quotidiennement bravée.
Mais la publication par une association, Bayt Al-Hikma (la maison de la sagesse), le 8 décembre, d’un communiqué appelant à mettre fin à l’interdiction de la consommation et l’achat d’alcool par les Marocains a mis le feu aux poudres. « La loi selon laquelle l’alcool ne peut être vendu qu’aux étrangers est contraire à la Constitution », plaidait le communiqué.


La présidente de Bayt Al-Hikma, Khadija Rouissi, a déclaré mardi que cette loi « doit être abrogée parce que la question relève de la liberté individuelle. » Ahmed Raissouni, un religieux proche du Parti justice et développement (PJD/opposition islamiste), ne l’entend pas de cette oreille. S’appuyant sur une interprétation du Coran, il avait publié, en décembre 2009, une fatwa exhortant les Marocains à boycotter tous les supermarchés qui commercialisent l’alcool.


En mai dernier, une partie de la population de Salé (la ville-jumelle de Rabat), emmenée par des militants du PJD, avait tenu un sit-in devant un nouveau centre commercial pour protester contre la vente de spiritueux.
Paradoxalement, au Maroc, entre 300 000 et 400 000 hectolitres de vin sont produits, et la plus grande majorité (environ 85%) est consommée localement.


Vagues successives de fermeture de bars en Algérie:

L’Algérie, pays voisin, a connu des vagues successives de fermeture de bars et autres établissements servant des boissons alcoolisées. En juin dernier, les autorités ont pris des mesures visant à faire fermer les bars et boîtes de nuit à 22 heures en saison estivale et à 20 heures à partir du mois d’octobre.

Un sondage réalisé à l’échelle nationale, au début de la fermeture des bars, et publié par El-Watan a démontré que cette prohibition était loin de dissuader les consommateurs. A la question : « Quand il n’y a plus de bars dans votre wilaya (département), que faites-vous ? », 59% des sondés ont répondu « je bois chez moi », 11% ont opté pour des bars clandestins, 20% ont dit qu’ils étaient prêts à aller boire dans d’autres départements et seulement 1% ont déclaré qu’ils arrêteraient de boire.

« On est bel et bien entré dans une ère de prohibition avec tous les dangers qui vont en découler », a regretté l’Association des commerçants et des investisseurs de la Corniche oranaise (ACICO), à l’Ouest du pays. Les gérants des bars et boîtes de nuit en Algérie ont la crainte que cette prohibition ne génère un commerce informel qui sera géré par la pègre."

Vaccin H1N1 : le corps médical incite a la méfiance

Alors que les cas de grippe H1N1 ou porcine se multiplient parmi la population marocaine, avec toute fois peu de cas graves, et que le ministère de la santé mobilise les traitements (le Tamiflu) et les vaccins dans les dispensaires et les hôpitaux, le corps médical, responsables et directeurs d’hôpitaux incitent à la modération et à la méfiance.